VERTS-EN-NORD

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https://www.lequipe.fr/Football/Actualites/Vente-de-saint-etienne-un-nouveau-candidat-venu-des-emirats/944351#xtor=RSS-1

Vente de Saint-Etienne : un nouveau candidat venu des Emirats
Publié le vendredi 28 septembre 2018 à 00:07 | Mis à jour le 28/09/2018 à 00:21
Après l'échec des négociations avec un investisseur américain, les dirigeants des Verts cherchent toujours à vendre le club. Le futur acheteur pourrait venir des Emirats arabes unis.

Roland Romeyer et Bernard Caïazzo sont toujours les dirigeants de Saint-Etienne, en tant que présidents du directoire et du conseil de surveillance, mais leur club est toujours sur le marché : après que des discussions très avancées avec Peak 6, un investisseur américain, ont finalement échoué en mai dernier, le dossier de la vente connaît un nouveau développement avec l'apparition d'un candidat au rachat venu des Emirats arabes unis. En attendant, le club vit à crédit.

Joël · Ven Sep 28, 2018 2:04 pm

Rien n'est encore fait, mais j'attends avec impatience la réaction de certaines personnes, et notamment celles qui critiquent le modèle parisien avec les pétrodollars "qataris" !!!
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La difference entre Sainté et Lyon: Une étoile de Champion !

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http://www.poteaux-carres.com/potin-P1720180929082002-Nanard-reclame-200-millions.html

La dernière édition du Progrès revient sur les dernières rumeurs de ventes de l'ASSE parues hier dans la Pravda et démenties dans la foulée par le club. Extraits.
"Alors que L’Équipe avançait jeudi soir de nouvelles hypothèses sur la vente de l’ASSE, Bernard Caïazzo nous avait répondu pas sms « C’est du pipo » (sic). Du côté de l’ASSE, certains soupçonnent l’avocat Didier Poulmaire d’être aussi à l’origine de rumeurs. Selon une source proche du dossier, il aurait été écarté par les présidents de l’ASSE, jugeant un dossier de reprise qu’il défendait peu crédible. Ils s’interrogent toujours sur le sérieux de cet investisseur venu des Émirats en voyant que faute de réponse rapide de l’ASSE il irait acheter un club en Espagne. « Comme on se tourne vers un autre concessionnaire pour une voiture » commente-t-on à Saint-Etienne. Nombre d’intermédiaires tentent de se placer, et là, le mercato ne ferme jamais. Sauf à l’ASSE, si on croit Bernard Caïazzo. « Nous avons changé de stratégie, nous avons eu recours à l’emprunt avec des prêts à 5 ou 6 %, comme l’avait fait l’OL. Et à quoi bon vendre si l’acheteur n’amène pas 200 m€ pour viser le top 4 ? »"

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http://peuple-vert.fr/breves/gueules-noires-coeurs-verts-une-soiree-speciale-sur-l-equipe/

Lundi soir, la chaine L’Équipe propose de plonger dans les entrailles de la ville de Saint-Étienne à la fin des années 1970, celle de l’apogée des Verts et celle du déclin de la France sociale et ouvrière… Un documentaire inédit, conté par Vincent Duluc et auquel Peuple-Vert.fr a participé.
Dès 20h50, Thomas Hugues prend les commandes de cette soirée spéciale. En plateau, il sera accompagné de Vincent Duluc et Bernard Lions ainsi que par deux des héros de l’épopée des Verts : Oswaldo Piazza et Patrick Revelli.
Côté pile : le foot et ses premières stars, le rêve européen de 1976, un enthousiasme national jamais vu pour les Verts de « Sainté ». Côté face : l’irruption de la crise et la fin des industries issues du XIXe siècle, à Saint-Étienne comme ailleurs. Des deux côtés, les ouvriers en première ligne. Dans les stades de France et d’Europe où, fournissant le gros des bataillons des supporters Verts, ils soutiennent l’aventure sportive de leur équipe et entraînent avec eux le pays entier. Dans les usines, où ils luttent désormais pour sauvegarder leurs emplois menacés là où ils étaient autrefois à l’avant-garde des conquêtes sociales.
Réalisé à partir d’archives – photos, images télévisuelles, cinématographiques ou amateurs –, le film part du stade de foot, théâtre des exploits des Verts, pour porter un regard sur les tribunes et le « peuple » qui les occupe. Il fait le récit de ce moment singulier où le succès de l’aventure européenne des Verts croise la défaite de son public ouvrier. En tissant des liens entre histoire sportive et histoire ouvrière et industrielle, il raconte ce qui se joue dans cet engouement populaire sans précédent et fait ressentir le désarroi de ceux dont l’identité est violemment mise à mal et à qui les Verts offrent une revanche.

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https://www.butfootballclub.fr/ligue-1/saint-etienne/asse-cabella-valide-le-gros-coup-de-gueule-de-gasset/

Thumright

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http://www.envertetcontretous.fr/articles/le-var-n-est-vraiment-pas-a-l-avantage-des-verts-35474-1.html?utm_source=dlvr.it&utm_medium=facebook

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Ce dimanche, les Verts de Saint-Etienne ont pris la direction de Carquefou pour un stage de préparation jusqu'au match face au Football Club de Nantes, programmé ce mercredi soir (21 heures, Stade de La Beaujoire) dans le cadre de la 22ème journée de Ligue 1. Jean-Louis Gasset, l'entraîneur de l'ASSE, a convoqué un groupe de vingt joueurs (dix-sept joueurs de champ et trois gardiens de but).
Annoncé partant pour la Chine, Ole Selnaes, le milieu de terrain international norvégien des Ligériens, est finalement bien présent. En revanche, Assane Diousse, qui devrait rapidement retrouver l'Italie et la Serie A, manque à l'appel. Cheikh Mbengue, William Saliba et Makhtar Gueye, quant à eux, ne figurent également pas dans le groupe, les deux derniers restant en soins au centre d'entraînement de L'Étrat.

LE GROUPE DE L'ASSE
Stéphane Ruffier, Jessy Moulin, Théo Vermot - Mathieu Debuchy, Loïc Perrin, Neven Subotic, Timothée Kolodziejczak, Gabriel Silva, Pierre-Yves Polomat - Yann M'Vila, Ole Selnaes, Rémy Cabella, Kenny Rocha Santos - Wahbi Khazri, Romain Hamouma, Kévin Monnet-Paquet, Robert Beric, Loïs Diony, Yannis Salibur, Arnaud Nordin.

Joël · Mer Jan 30, 2019 2:06 pm

Flash : Selnaes veut partir et va au clash !

C'est une nouvelle qui va faire grand bruit si elle est confirmée. Selon Bernard Lions, Ole Selnaes n'est pas souffrant et la version officielle de l'AS Saint-Etienne est surtout une tentative pour apaiser ou masquer une situation bien plus gênante. Le milieu de terrain international norvégien veut quitter le Forez pour rejoindre la Chine, où le FC Shenzen lui propose 10 M€ étalés sur trois ans, soit cinq fois son salaire actuel (55 000 € brut mensuel).

Le joueur serait donc mécontent d'être retenu par l'ASSE et souhaite le faire savoir. Il a regagné son domicile stéphanois, la veille de la rencontre face à Nantes. Autre problème pour les dirigeants, ils n'ont pas reçu d'offre venant de Chine. L'agent du joueur posséderait une offre de Shenzen pour l'ASSE, mais ne l'a pas encore transmise. L'affaire semble floue, et la nouvelle législation en Chine ne va rien arranger aux affaires des Verts.
Le montant d'une indemnité de transfert se trouvé désormais régulé à 6M€. Pour dépasser cette somme, il faudrait mettre en place un montage complexe visant à contourner le fisc chinois, avec les risques que cela ferait courir aux deux clubs explique l'Equipe. Saint-Etienne n'envisage pas de lâcher son joueur pour une somme inférieure à 10M€.

En tout cas, on se serait bien passé de ça dans le Forez au moment d'attaquer une semaine importante à deux matchs.
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bravo les gamins !

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http://www.envertetcontretous.fr/articles/gambardella-des-verts-heroiques--36018-1.html

Les Verts se sont imposés ce dimanche en 16e de finale de la Coupe Gambardella 3-3(TAB) sur le terrain de l'AJ Auxerre. Un but de Charles Abi en début de rencontre et une fin de match de folie avec des buts de Bengueddoudj et Rocha Santos permettent aux Verts de jouer la qualification aux TAB. Après avoir sorti le FC Lyon et Sochaux, le parcours des hommes de Razik Nedder se poursuit en 8e après cette victoire fondatrice à Auxerre.

La composition des Verts : Bajic, Mezaber (Leleux), Tshibuabua, Fofana, Halaimia (Urie), Moueffek (Bengueddoudj), Rocha, Benkhedim, Abi, Tormin, Sidibé.

Les Verts se mettent rapidement à l'abri. Sur l'une des premières actions du match, Charles Abi d'une jolie tête dans les 6 mètres ouvre le score (6') 0-1. Malgré cette bonne entame, les Auxerrois ne se désunissent pas et reviennent au score peu avant la demi heure de jeu en égalisant sur corner (25') 1-1. Le buteur Auxerrois Jean Marcellin est un jeune défenseur qui a déjà connu 5 titularisations chez les pros cette saison.
C'est un autre grand espoir Auxerrois Yanis Begraoui qui donne l'avantage aux locaux sur penalty avant la mi temps (41') 2-1. Pour information Begraoui avait inscrit 38 buts avec les U17 la saison dernière, une performance remarquable pour celui qu'on surnomme le "petit Benzema".
Les Verts regagnent le vestiaire en étant menés d'un but au tableau d'affichage.

Malheureusement la seconde période démarre sur le même ton. Sur une percée des locaux, c'est Marvin Thsibubua qui stoppe le ballon de la main, il est exclu par l'arbitre qui désigne le point de penalty, Begraoui inscrit un doublé et le but du break (66') 3-1. Des Verts ne sont pas abattus pour autant et c'est Bengueddoudj qui redonne l'espoir aux siens juste avant la fin du temps réglementaire (87') 3-2. La rencontre se terminera à 10 contre 10, les Auxerrois accumulant les fautes dans cette fin de match à l'avantage des Verts. L'invraisemblable arrive 5 minutes plus tard, c'est le capitaine du jour Kenny Rocha Santos qui égalise sur penalty alors que tout semblait indiquer une élimination des Verts (92') 3-3.
Les deux équipes se quittent à l'issue du temps réglementaire sur le score de 3-3, la qualification se jouera aux TAB.
Auteur d'un arrêt sur le deuxième tireur Auxerrois, Bajic met son équipe sur de bons rails, les Verts garderont la tête jusqu'a la fin de la séance et arrache la qualification. YEAAAAAAAAAHHHHHHHHHHHHH !!!!

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http://www.envertetcontretous.fr/articles/un-investisseur-americain-en-vue--36181-1.html

un investisseur américain en vue ?

Publié le 15 February 2019 à 15:38 par Faustine | 70 commentaires

Toujours à la recherche d'un investisseur pour permettre à l'ASSE de changer de dimension, Bernard Caïazzo et Roland Romeyer multiplient les rendez-vous depuis maintenant plusieurs mois. Si les dirigeants stéphanois n'avaient finalement pas été convaincus par le projet du fond d'investissement Peak6, la solution pourrait tout de même bien venir de l'autre côté de l'Atlantique.

"Les États-Unis représentent un axe prioritaire. Pour deux choses : rechercher des investisseurs américains susceptibles de rentrer dans le capital de nos clubs et augmenter la valeur des droits télé sur le territoire américain." Didier Quillot, directeur général de la Ligue de Football Professionnel en semble certain : le football français doit désormais s'appuyer sur le marché étasunien. Une volonté semble-t-elle partagée par les dirigeants du club du Forez. En effet, selon les informations de ButFootballClub, les deux présidents stéphanois seraient actuellement en discussion avec un investisseur américain qui aurait pour objectif de rentrer dans le capital de l'AS Saint-Etienne.

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https://www.francefootball.fr/news/Frederic-paquet-directeur-general-de-saint-etienne-il-faut-avoir-les-cojones-de-pouvoir-jouer-au-stade-geoffroy-guichard/989469

Frédéric Paquet, directeur général de Saint-Étienne : «Il faut avoir les cojones de pouvoir jouer au stade Geoffroy-Guichard»
Voilà un peu plus d'un an que Frédéric Paquet est devenu le directeur général de l'AS Saint-Étienne. Pour FF, l'ancien dirigeant du LOSC fait le point sur l'actualité stéphanoise. De la belle saison des Verts à la VAR en passant par Jean-Louis Gasset et Ole Selnaes.
«Sur dix, si vous deviez noter la saison de votre équipe stéphanoise jusqu'ici, quelle serait votre chiffre ?
C'est plutôt une saison positive. D'un point de vue sportif, je mettrais huit sur dix. On est presque au-delà de ce qu'on avait envisagé en début de saison. On s'était positionné en voulant être compétitif pour l'Europe, en dessous des quatre équipes qui nous paraissaient intouchables. Ça, c'était en début de saison. Monaco a un peu dévissé, Marseille est tout proche. Aujourd'hui, on est vraiment plutôt bien. C'est une grande performance qu'accomplissent Jean-Louis, son staff et tous les joueurs.

Qu'est-ce qui a pu vous surprendre dans cette belle saison ?
On savait que le choix d'avoir un groupe restreint, avec des joueurs expérimentés, n'était pas un pari forcément simple. Ce qui est assez impressionnant, journée après journée, c'est la capacité que dispose Jean-Louis (Gasset) pour trouver des solutions aux problèmes qui sont posés. Entre les blessés et les cartons rouges (NDLR : quatre depuis le début de la saison), on savait que ce serait compliqué avec une équipe aussi quantitativement réduite.

Saint-Étienne a également réussi à régler un certain manque en attaque, avec par exemple l'arrivée de Wahbi Khazri.
Oui, effectivement, la venue de Khazri était une priorité pour le coach parce qu'il savait ce que pouvait un joueur de la qualité de Wahbi en attaque. Il le prouve.

«Il y a ceux qui jouent au foot et ceux qui jouent à Geoffroy-Guichard. Ce n'est pas tout à fait pareil»
Revenons à Jean-Louis Gasset. En quoi le mariage avec Saint-Étienne a pu être autant réussi ?
En dehors de la qualité du professionnel, la qualité de l'homme se marie bien avec les valeurs du club. Ça fait un mariage réussi. Dans le football, il faut toujours être prudent, les résultats restant l'unité d'évaluation. On sait à quel point ça peut aller vite. Mais aujourd'hui, ses valeurs correspondent bien à Saint-Étienne et à la construction du groupe. On a été vigilent pour avoir une communion de valeurs. On a des joueurs qui sont de qualité, mais qui sont aussi des hommes de qualité, qui partagent ses valeurs.

Qu'est-ce qu'il faut à un joueur pour évoluer chez les Verts ?
De la qualité, bien sûr, mais aussi être une bonne personne. Il faut avoir les "cojones" de pouvoir jouer au stade Geoffroy-Guichard. Et ça, ce n'est pas donné à tout le monde. Il faut avoir une vraie forte personnalité, une capacité d'aller à la guerre et être solidaire de ses coéquipiers, ne jamais rien lâché. Tout le monde va vous dire "Ouais, c'est ce qu'il faut pour jouer au foot.". Oui, mais il y a ceux qui jouent au foot et ceux qui jouent à Geoffroy-Guichard. Ce n'est pas tout à fait pareil.

uels sont désormais les objectifs du club pour cette fin de saison ?
On se dit qu'on va prendre chaque match après l'autre. Le Championnat est tellement compliqué, tellement serré, il suffit de regarder le classement avec les écarts minimes, à part avec les deux premiers. On prend le maximum de points possibles et on fera le point à une ou deux journées de la fin. Avant, ce serait vraiment très prématuré de faire quelques présomptions. C'est trop tôt.

Le match de dimanche, face au PSG, sera-t-il un test pour savoir où peut en être votre équipe ?
Le PSG montre en Ligue 1 qu'il est au-dessus de tout le monde. Il a prouvé en Ligue des champions qu'il est au-dessus de beaucoup des meilleures équipes européennes. On ne boxe pas du tout, du tout, du tout dans la même catégorie. Le PSG n'est pas du tout dans la même dimension que le reste du Championnat.

Deux sujets qui fâchent : parlons de la VAR. On vous a récemment entendu à ce propos*. Était-ce un coup de gueule passager ou y a-t-il encore beaucoup de profondes interrogations ?
On ne va pas y revenir trente-six ans. On a essayé d'être le plus factuel possible. L'outil est un bon outil. On a mesuré qu'il n'est pas simple à utiliser. Ça demande du temps. On a simplement fait un constat : il y a des imperfections et l'AS Saint-Étienne est le club le plus souvent victime de ses imperfections. Et comme l'a dit le président Romeyer, on ne peut pas être le cobaye d'une mise en place et d'un apprentissage. Chaque journée est importante. On ne se prend pas pour d'autres. Il faut rapidement trouver les solutions pour qu'aucun club ne soit pénalisé si possible. Et en tout cas pour arrêter qu'on soit autant pénalisé. C'est un outil excellent mais il demande une vraie formation, une vraie adaptation.

«Selnaes, on a été tous surpris par sa réaction»
Évoquons ensuite d'Ole Selnaes qui a donc poussé pour un départ en Chine. Le transfert n'est toujours pas acté...
Ce dossier n'est pas terminé effectivement. On attend de finaliser. C'est en cours. Les choses se présentes correctement. Mais tant que ce n'est pas fait...

On parlait précédemment la volonté, le caractère, les valeurs pour jouer à l'ASSE. Diriez-vous que Selnaes a montré qu'il ne correspondait pas ?
Disons qu'on a été tous surpris par sa réaction, qui n'était pas du tout celle du joueur qu'on avait connu jusqu'à présent. Il a eu une réaction inattendue, et dans l'ensemble décevante (NDLR : Début février, sur le site Internet du club, Frédéric Paquet avait estimé qu'Ole Selnaes «avait manqué de respect au club».). On a constaté. On a été un peu victime de ce qu'il s'est passé. Notre souci a toujours été de protéger le club. À un moment donné, il a fallu prendre des décisions parce que cela devenait un peu n'importe quoi.

Pour finir, une question sur votre aventure au sein de ce club. Il a fallu se faire une place au milieu d'un organigramme bien installé depuis très longtemps. Comment vous sentez-vous dans le Forez ?
Écoutez ça va. Il a en effet fallu un temps d'adaptation pour trouver la place. Aujourd'hui, l'organigramme a peu changé. Bernard Caiazzo, président du Conseil de surveillance, et Roland Romeyer, président du Directoire, sont là. Mon travail est de permettre que les choses se passent dans les meilleures conditions, que le président ait la meilleure information possible et décider de ce qui semble être le mieux pour le club. Ça s'est installé. Je pense que chacun a sa place. Ça se passe plutôt bien. On avance.

Est-ce un club et un fonctionnement très différents du LOSC, où vous avez également été directeur général ?
Oui. Il y a deux actionnaires ici par exemple. Chaque club est différent. Et puis c'est une ville différente, une culture différente. Il me paraît impossible de vivre la même chose.»

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http://www.poteaux-carres.com/potin-P8820190219000336-Un-paquet-de-dissensions-a-la-direction.html

La Pravda de ce mardi raconte les pathétiques dissensions au sein de la direction de l'ASSE. Extraits.
"En voulant adresser un message à Jean-Marc Barsotti, président de l'association des Verts, dans lequel il lui expliquait la nécessité de contester l'action du directeur général Frédéric Paquet, à l'occasion du conseil de surveillance du 17 janvier, qu'il préside, Caïazzo s'est trompé de destinataire. Il l'a envoyé à... Paquet. Ce dernier est tombé du haut de son double mètre. C'est en effet Caïazzo qui est allé le chercher. Mais leurs noces vertes ont vite été consumées par les premières décisions fortes de l'ancien dirigeant du LOSC, placé à la tête de l'exécutif de l'AS Saint-Étienne en raison du burn-out que traversait alors Roland Romeyer, le président du directoire.
Alors qu'il l'avait fait recruter en septembre 2015, Caïazzo a obtenu de Paquet le départ de Matthieu Malkani-Giraud de son poste de directeur du développement marketing. Mais le timing, six mois, et son remplacement par Béatrice Salen, devenue proche de Paquet, ont déplu. Tout comme le renvoi d'Éric Blondel de son poste de team manager. Homme de confiance de Caïazzo pendant huit ans, notamment au conseil de surveillance, avant d'intégrer le staff en juin 2016 à la demande de Christophe Galtier, alors entraîneur, Blondel lui avait soufflé le nom de Jean-Louis Gasset. Caïazzo ne l'a pas oublié.
C'est dans l'ombre, au niveau du développement marketing et digital du club, que Paquet est attendu. Il doit trouver 10 millions d'euros d'ici à 2021. Puis 20 millions à partir de cette date. Or, le compte n'y est pas. Les recettes, hors vente de joueurs, que Caïazzo désespère de ne pas voir optimisées, n'ont pas augmenté depuis 2010. Malgré la puissance de la marque stéphanoise, elles resteraient inférieures à celles de Bordeaux et Rennes. Contesté par Caïazzo, Frédéric Paquet s'est tourné vers Roland Romeyer pour sauver sa peau.
Depuis "l'affaire du SMS", Paquet se retrouve sous la tutelle de Romeyer. La victoire devant Dijon (3-0, le 22 décembre) aurait convaincu ce dernier de revenir aux affaires. À 73 ans et jusqu'en 2024, date de la renégociation des droits télé. Caïazzo aurait été mis devant le fait accompli de ce retour, officialisé avec l'interview de Romeyer dans L'Équipe du 11 février. La veille de rompre son silence d'un an, alors qu'il regardait Rennes - Saint-Étienne au bar du club le Chaudron vert, Romeyer avait envoyé un SMS à Dominique Rocheteau, son directeur sportif, et à Paquet, leur ordonnant de fustiger l'arbitrage.

Comme il en avait pris trop souvent l'habitude, Paquet est monté, seul, au créneau. Pas suffisant, aux yeux de son président. Désavoué et désabusé, Paquet réfléchirait à partir en fin de saison. De retour, Romeyer brûle toutes les décisions de Paquet. Il avait acté le départ, libre, de Beric, en juin ? Romeyer a convoqué Amir Ruznic, son agent, la semaine passée. L'ASSE se montre désormais disposée à lui offrir 100 000 des 180 000 euros de salaire brut mensuel réclamé (contre 75 000 euros aujourd'hui) et un nouveau contrat de trois ans. Romeyer gère en solitaire le dossier de son chouchou, tandis que le retour de Blondel, pour épauler Gasset dans sa relation difficile avec Romeyer, est d'actualité."

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http://www.poteaux-carres.com/potin-P5420190219002937-Roro-contre-un-troisieme-actionnaire-.html

Selon la dernière édition de la Pravda, Roro ne veut pas d'un troisième actionnaire à l'ASSE. Extraits.
"La bonne santé sportive retrouvée des Verts suffit-elle à expliquer le retour de Romeyer, décidé à vendre le club l'été dernier ? Elle s'additionnerait au fait que Caïazzo serait sur le point de trouver, enfin, un troisième investisseur. Il entrerait pour un tiers au conseil d'administration du club, via une augmentation de capital. La venue d'un troisième larron rendrait Romeyer furax. Le risque s'avérerait alors réel pour lui de se retrouver à un contre deux.
Les discussions, en cours, se concentrent autour de trois candidats : un Américain, dont l'inexpérience en matière de foot inquiète ; un Anglais, qui aimerait peser dans l'exécutif ; et un Émirien, comme en septembre, mais ce dossier s'avère complexe en raison du nombre d'intermédiaires. Son arrivée, si arrivée il y a, est espérée en mai. Dans le cas contraire, et à moins d'une qualification directe pour la Ligue Europa qui ferait rentrer 15 M€ dans les caisses, l'ASSE devra vendre des joueurs en 2020 afin de rembourser les 25 M€ empruntés l'été dernier."

ALAIN · Mar Fév 19, 2019 7:36 pm

pas du tout rassurant tout çà Shocked