VERTS-EN-NORD

ALAIN · Lun Juin 13, 2011 6:32 pm

Euro 2012: le Maire et Caiazzo devant le Conseil Fédéral

Le Maire de Saint-Etienne, Maurice Vincent, sera reçu à Paris, ce vendredi par les membres du Conseil Fédéral en compagnie du président du Conseil de surveillance de l’ASSE, Bernard Caiazzo.

Les deux hommes ont répondu à l’invitation de l’instance fédérale, à la veille de l’expiration de son mandat.

Celle-ci a tenu à recevoir les représentants du dossier stéphanois afin de rétablir une certaine équité.

Avant l’officialisation des villes qui accueilleront l’Euro 2012, on se souvient qu’elle avait eu une oreille attentive pour Gervais Martel et Jacques Rousselot, les présidents de Lens et de Nancy, venus défendre leurs dossiers jusqu’aux derniers instants.

« Le Conseil Fédéral doit réparer cette bourde. Saint-Etienne représente l’histoire du football français.

Son public a démontré son fair-play lors du match contre Lille et sa ferveur face au PSG lors du dernier match.» estime Caiazzo.

Le duo stéphanois espère maintenant convaincre les instances que dix sites ne seront pas de trop pour accueillir l’Euro.

Ce serait un sacré coup de boost le jour même où débuteront les travaux de rénovation du stade Geoffroy-Guichard..

Joël · Lun Juin 13, 2011 7:06 pm

Le plus important est que les travaux démarrent. Maintenant si "Sainté" peu être retenu, ca ne sera que bénéfique pour la ville et la région. Dans le cas contraire, Maurice VINCENT ne pourra sans predre qu'à lui, de ne pas avoir favorisé la solution du nouveau stade, plutôt que la rénovation de GG.

ALAIN · Jeu Juin 16, 2011 8:44 pm

L’UEFA approuve la proposition d’ajouter Saint-Etienne et Toulouse
Ce jeudi soir, le Comité exécutif de l'UEFA a informé, via son site internet, qu’il avait approuvé la proposition d'ajouter Saint-Etienne et Toulouse aux neuf villes retenues pour accueillir la phase finale de l’Euro 2016 en France

La bonne nouvelle a été dévoilée, ce jeudi soir, par un communiqué publié sur le site de l’UEFA : «Le Comité exécutif de l’UEFA a approuvé à l'unanimité la proposition faite par Jacques Lambert, le président de l'instance en charge de l'organisation de l'UEFA EURO 2016, d'ajouter deux villes de réserve, Toulouse et Saint-Étienne, aux neuf villes retenues pour accueillir la phase finale en France.
Ce tour final comprenant pour la première fois 24 équipes au lieu de 16, 51 matches seront proposés au lieu des 31 habituels pour ce tournoi. Le Comité exécutif a eu le sentiment qu'il était sage de porter le nombre de villes impliquées à onze afin de s'adapter à ce nombre accru de rencontres.
"Je préfère que le Comité exécutif soit intervenu sans délai pour couper court à toute incertitude", a expliqué M. Platini. "Je suis convaincu que la décision du Comité exécutif est très bonne. Elle est pleine de bon sens pour l'UEFA, c'est une décision équitable pour les villes candidates et une décision d'intérêt général pour le pays hôte."

Maurice Vincent, maire de Saint-Etienne - président de Saint-Etienne Métropole, et Bernard Caïazzo se rendront, demain, au conseil fédéral.
SUPERBE N0UVELLE PLEINE DE BON SENS

ALAIN · Jeu Juin 16, 2011 8:48 pm

Séminaire : «Quelle ASSE pour demain ?»

Mercredi 15 Juin s'est tenu à l'Etrat, à l'initiative de Bernard CAIAZZO et Roland ROMEYER, un séminaire sur le thème "Quelle ASSE pour demain ?".

Philippe DIALLO, directeur général de l'Union des Clubs Professionnels de Football (UCPF), est intervenu dans la matinée pour présenter l'évolution du football professionnel en Europe et plus particulièrement en France. Autour de Dominique ROCHETEAU et des administrateurs du club, une quinzaine d'invités dont Georges BERETA, Didier BIGARD, Patrick GUILLOU et Robert HERBIN ont pu apprécier la qualité de la présentation du directeur général de l'UCPF.

Au cours des 15 dernières années, La Ligue 1 française a reculé de la 2e place à la 5e place aujourd'hui. Ce déclin de la Ligue 1 s'explique par la différence de puissance financière par rapport aux autres championnats.
- Angleterre : 2,4 milliards d'euros.
- Espagne : 1,7 milliard d'euros.
- Italie: 1,6 milliard d'euros.
- Allemagne : 1,5 milliard d'euros.
- France : 1 milliard d'euros.

Un footballeur pro en France, pour le même salaire net, coûte 30% plus cher qu'un footballeur pro dans les quatre autres championnats. En France, les cinq plus gros budgets sont : OL, OM, PSG, Bordeaux et Lille. L'ASSE disposait du 9e budget pour la saison 2010.2011
Les plus gros budgets vont aux grandes villes qui disposent d'au moins 1,5 millions d'habitants dans leur environnement proche. Les grandes villes bénéficient surtout d'une économie locale forte qui participe aux ressources des clubs. Pourtant, le BIG 5 est fortement déficitaire : avant les ventes de joueurs, les pertes de chacun de ces 5 clubs sont estimées à plusieurs millions d’euros. Cela va contraindre ces clubs à vendre des joueurs ou à injecter des moyens financiers nouveaux.

Après cette présentation du matin, tableau général du football, l'après-midi fut consacré à un débat sur le rôle et la place de l'ASSE face à cet environnement et surtout face des clubs plus riches dans des villes plus fortes sur le plan économique. Chacun a pu donner son avis afin de réfléchir en fonction des forces et des faiblesses de l'ASSE sur les objectifs à moyen terme du club.

A partir de son ADN, l'ASSE doit construire son plan de développement avec des objectifs clairs :
° Projet de jeu à appliquer dans les catégories d'âge les plus jeunes.
° Ambition de grandir et de progresser dans la durée.
° Développement de la FORMATION.
° Respect des valeurs du club

Parce que l'ASSE ne fera jamais partie des clubs les plus riches, le club doit rechercher de nouvelles idées, observer les meilleurs pratiques des autres clubs, développer et appliquer ce qui se fait de mieux aussi bien sur le plan sportif, que médical, gestion,économie......
Pour compenser les moyens financiers, il faut de nouvelles méthodes :
INVENTER, CRÉER, INNOVER
Une feuille de route sur le sujet doit être préparée par le club dans les prochaines semaines.

A la fin de la journée, tous les participants ont estimé avoir amélioré leur niveau de connaissance et de réflexion. L'enrichissement des connaissances par l'extérieur, mais également le dialogue d'experts permettent d'imaginer le chemin même si le travail est considérable.

L'ASSE tient à remercier les participants invités pour le temps consacré pour le club.

Joël · Jeu Juin 16, 2011 9:08 pm

Bernard Caïazzo était aux anges après le repêchage de Saint-Etienne (et de Toulouse) comme ville hôte de l'Euro 2016. Sa réaction.

Saint-Etienne et Toulouse n'auront finalement pas besoin de soumettre leur recours au conseil fédéral de la FFF, vendredi matin. Pour le principe et pour présenter et faire valider le projet de l'ASSE, Bernard Caïazzo se rendra tout de même Boulevard de Grenelle, mais l'essentiel est déjà acquis. A l'instar du Stadium, Geoffroy-Guichard a été repêché par l'UEFA comme stade hôte de l'Euro 2016. «Une très bonne nouvelle, estime Caïazzo, joint au téléphone. Je suis très heureux. Comme quoi, on a bien fait d'oeuvrer et de réagir après cette injustice. Tout est rentré dans l'ordre».

Au cours de ces derniers jours, le co-président de l'ASSE avait reçu «pas mal d'informations» qui lui avaient laissé penser que «la bourde» de Fernand Duchaussoy allait être réparée. Le 20 mai dernier, il avait reproché au président de la FFF d'avoir entendu de vive voix Jacques Rousselot et Gervais Martel défendre les projets de Nancy et Lens, sans prendre la peine d'écouter ce que lui avait à dire. L'annonce de Michel Platini, avec lequel il entretenait des «contacts réguliers», de faire passer de neuf à onze le nombre de stades destinés à accueillir l'Euro 2016, a «rétabli l'équilibre». «Michel pensait comme 98% des Français», souligne Caïazzo. Sous-entendu : que la mise à l'écart de Saint-Etienne était «une insulte pour l'histoire de notre football au regard de ce que l'ASSE représente».

«Au départ, on a cru que les choses se passeraient plus facilement, qu'un bon projet suffisait, reprend encore le dirigeant. Finalement, ce n'est peut-être pas si mal que ça se passe comme ça». Caïazzo fait remarquer que cette péripétie s'inscrit dans l'histoire de l'ASSE. «C'est ce qui est extraordinaire avec ce club. Même lorsqu'on croit que c'est mort, que le match est perdu, à l'arrivée, on arrive à renaître de nos cendres. C'est exactement ce qui s'est passé. Quand j'ai appris la nouvelle, je me suis dit que c'était une caractéristique de notre club : On n'a rien sans mal».

Joël · Jeu Juin 16, 2011 11:04 pm

L'épouse de Pascal Feindouno, ancien joueur franco-guinéen de l'AS Saint-Etienne (Ligue 1), a été mise en examen pour corruption dans une affaire de faux titres de séjour.

Awa Feindouno, qui réside toujours dans le Forez bien que son époux joue à l'AS Monaco, a été mise en examen fin mai et remise en liberté sous contrôle judiciaire, ainsi que quatre autres intermédiaires qui jouaient un rôle de rabatteurs dans ce trafic. Dans le cadre de l'instruction confiée à une juge stéphanoise, le principal suspect, un fonctionnaire du bureau d'immigration de la préfecture de la Loire, avait été mis en examen pour "corruption passive" et écroué en octobre 2010. Il vient d'être remis en liberté sous contrôle judiciaire.

Il lui est reproché d'avoir monnayé, contre de l'argent ou des faveurs sexuelles, la délivrance d'environ 70 titres de séjours à des étrangers originaires du Maghreb ou d'Afrique noire entre 2008 et 2010. Suspendu de ses fonctions par arrêté ministériel, il a déclaré aux enquêteurs avoir obéi à des "motivations humanitaires". Il sera convoqué en juillet devant le conseil de discipline, précise mercredi la préfecture de la Loire.

Parmi les bénéficiaires du trafic figurent l'épouse et les quatre enfants du général Mathurin Bangoura, ministre guinéen de l'Urbanisme et de l'Habitat. Elle n'a pas été poursuivie, mais elle a dû restituer les titres de séjours obtenus de façon indue.

QUELLE HISTOIRE!

Joël · Jeu Juin 16, 2011 11:09 pm

Les Magics fans, occupants du Kop Nord, font le bilan. Sur tout, et sans langue de bois

Les groupes de supporters ne font pas le public de Geoffroy Guichard, c’est un fait avéré. Mais ils demeurent partie intégrante du 12 e homme. Les Magic Fans ont brillamment fêté leurs vingt ans . Éclaircissements sans langue de bois avec le responsable et leader de l’association, le dénommé Sam.

>>Sportivement, quel bilan tirez-vous de la saison écoulée ?

Après deux années catastrophiques, on doit reconnaître la progression. On a passé l’année tranquille, loin de la zone de relégation. Il y a certes, un peu de déception d’avoir lâché sur les derniers matchs et de ne pas avoir pu accrocher l’Europe, mais on termine 10 e. Notre classement reflète notre niveau. C’est honorable.

>>Des objectifs pour l’année prochaine ?

On a encore beaucoup de questions en suspens… Quel budget sera alloué au recrutement, par qui sera-t-il fait ? Après est-ce que les dirigeants seront plus ambitieux et mettront l’ambition et les moyens nécessaires pour viser les premières places, nous n’en sommes pas certains… En tout cas, c’est mal parti. Galtier a permis que le club retrouve une certaine stabilité. Maintenant allons-nous lui laisser faire son travail, gérer son groupe, ou lui couper la tête comme nous avons l’habitude de faire avec nos entraîneurs qui fonctionnent ? C’est un autre débat. Toucher l’élite ? Pour l’instant on n’a pas les capacités d’investissement, il faut construire le club autrement, d’une manière intelligente.

>> La baisse d’affluence au stade vous inquiète-t-elle ? À quoi l’attribuez-vous ?

Sur certains matchs, le spectacle n’était pas emballant… Mais je trouve que le public stéphanois est en train de changer, il devient plus exigeant, moins patient. Siffler un joueur parce qu’il est maladroit alors qu’il mouille le maillot n’est pas digne de Geoffroy Guichard.

>>Vous faites allusion à Emmanuel Rivière ?

Effectivement, il n’a pas mérité que le public le prenne en grippe.

>> Pourtant les sifflets venaient aussi de votre tribune ?

On ne peut pas contrôler tout le monde.

>>Un mot sur le mercato ?

On est au début, rien n’est fait. Garder Matuidi serait une bonne chose pour le club, cela dit, on se doit d’être correct et cohérent avec un joueur qui a été constant et logique. S’il part, on ne pourra pas lui en vouloir de penser à sa carrière. Pour Dimitri Payet, en revanche, l’intérêt du club serait d’effectuer la meilleure vente possible, le garder serait peut-être une erreur. Il sera difficilement remplaçable car performant sur le terrain, mais son comportement a laissé à désirer. Rivière, lui, a encore beaucoup à prouver. Il peut manquer de réussite, mais il joue. Se séparer des joueurs en devenir et, de surcroît, formés par le club, c’est prendre un risque.

>> Le calendrier de début de saison ?

Ce qu’il y a de positif, c’est que nous pourrons déjà faire un bilan de l’équipe mi-septembre. Peut-être est-il préférable d’affronter les grosses cylindrées immédiatement.

>> En août, vous déménagez en Henri-Point. Des appréhensions ?

Pas vraiment. C’est sûr que quitter la Nord reste un crève-cœur. Nous aurons tout juste la place pour nos abonnés (- de 2000) voire une centaine de personnes supplémentaires. Mais cela permettra au groupe d’être plus condensé, donc plus efficace au niveau des chants. Par contre, pour les tifos, on ne vous promet pas le même spectacle que pour nos vingt ans…

>>L’éventuelle participation de Saint-Etienne à l’Euro 2016, ça vous emballe ?

Pour l’instant, on n’est toujours pas retenu. Nous avons trouvé la désignation des villes scandaleuse, comme beaucoup de monde. On paie notre absence dans les hautes instances du football français. Là où d’autres clubs ont su exercer un lobbying (n’ayons pas peur des mots), M. Caïzzo a échoué. Si l’on est retenu, oui, c’est bien pour la reconnaissance de la ville, pour les commerces. Mais on aurait préféré garder le stade intact et en résultante, ne pas recevoir la compétition. Pour nous, la rénovation était inutile.

>>Vous avez une réputation de mauvais garçons, alors que cette année, aucun incident n’est à déplorer de votre part. Vous vous êtes assagis ?

On passe toujours pour les méchants. En même temps, cette image, on l’a cultivée pendant longtemps, alors on ne peut pas se plaindre. La répression est devenue tellement importante que nous ne mettons plus l’association en danger sans arrêt. La première incartade peut coûter très cher. C’est un problème national. La dissolution des groupes n’est pas la solution. Les conditions sont parfois déplorables en déplacement. On passe de citoyen à délinquant aussitôt qu’on monte dans le bus. Nous ne sommes pas des anges, mais nous faisons de la prévention, en déplacement nous tâchons de gérer les éléments incontrôlables. Une fois les associations dissoutes, il n’y aura plus d’intermédiaire et plus de responsabilité collective. Plus qu’une question sportive, le phénomène supporter est mélangé à la politique. C’est désolant mais prévisible.

Joël · Jeu Juin 16, 2011 11:25 pm

Assemblée générale extraordinaire élective

L’assemblée générale extraordinaire de l’ASSE se tiendra le lundi 27 juin, à 18h30 dans les salons du club 42 au stade Geoffroy-Guichard. L’ordre du jour sera le suivant : d’abord le renouvellement du mandat des administrateurs puis l’élection du président et du comité directeur.

Bon, je pense pas qu'on soit invité... Very Happy

Nordiste · Administrateur Inscrit le: 15 Oct 2010 Messages: 7121

Joël · Ven Juin 17, 2011 8:17 pm

J'sais pas,...j'suis pas dans les p'tits papiers du club! Rolling Eyes

ALAIN · Lun Juin 20, 2011 10:01 pm

Planté revient au bon souvenir de l'ASSE et de Janot

Lundi 20 Juin 2011 à 17h03 Dans : St Etienne, Ligue 1.

Prêté la saison passée par l’ASSE à Arles-Avignon, Vincent Planté s’apprête à retrouver les Verts, avec qui il a encore un an de contrat. Arrivé à Saint-Etienne il y a deux ans, l’ancien gardien de but caennais avait, à l’époque, été directement mis sur la touche, la concurrence avec Jérémie Janot n’ayant existé que lors des matches amicaux. Sur le site de France-Football, Planté explique n’avoir aucun état d’âme au moment de revenir dans le Forez, mais ne dira pas non à un nouveau départ.

« Je ne me considère pas comme une doublure. Je joue au foot pour être sur le terrain le week-end, pas pour m'entraîner et m'asseoir sur un banc. Si je reste à Saint-Etienne, même si je sais que Jérémie Janot est quasiment indéboulonnable, c'est à moi d'être prêt et de montrer au coach que je peux avoir ma place. Mais c'est très compliqué. Aujourd'hui, si je peux trouver une porte de sortie, on la trouvera ensemble (...) Je suis prêt à descendre d'un étage, à faire des concessions. La Ligue 2, c'est une division qui va être très relevée, avec tous les anciens pensionnaires de Ligue 1 qui y évoluent. Si je suis serein ? Oui et non. Je le suis parce que je ne vais pas me retrouver au chômage étant donné qu'il me reste un an de contrat. Mais je ne sais pas ce que Saint-Etienne veut faire de moi. A aucun moment, le coach ou le président ne m'a appelé », explique Vincent Planté, qui sait que Saint-Etienne n’a pas besoin de lui, mais devra respecter son contrat.

Joël · Mar Juin 21, 2011 10:47 pm

Un nouveau partenariat

L’Asse a signé une nouvelle convention de partenariat avec le club de Brioude (Haute-Loire) dans les locaux de l’USB en présence de Roland Romeyer, Jean Candel, Georges Bereta et Dominique Rocheteau, qui ont répondu favorablement à l’invitation de Jean-Baptiste Duteurtre, le président de l’Union Sportive Brioude.

Onzième club à s’inscrire dans cette démarche, l’US Brioude pourra bénéficier d’avantages, notamment par rapport à la formation de ses éducateurs tandis que l’ASSE sera en première ligne pour faire venir un joueur du clug dans son centre de formation.

Brioude a au moins l'avantage de ne pas être trop éloigné de "Sainté" par rapport à Yeggo ou l'Argentine. Wink

ALAIN · Mer Juin 29, 2011 10:38 pm

Conseil de Surveillance

Le Conseil de surveillance de l’AS Saint-Etienne s’est réuni, ce mercredi 29 juin à Saint-Etienne, sous la présidence de Bernard CAIAZZO.

Roland ROMEYER, Dominique ROCHETEAU et Stéphane TESSIER, membres du Directoire, ont présenté le bilan sportif et financier de la saison 2010-2011.

Sur le plan sportif, le Conseil de surveillance a considéré la saison vivante et intéressante. L’ASSE a animé le championnat en occupant la première place en octobre, en gagnant le derby à Gerland et en jouant l’Europe jusqu’aux dernières journées du championnat. Le Conseil de surveillance a regretté le relâchement des derniers matches. L’objectif pour la saison prochaine sera de continuer à progresser au classement comme dans le jeu.
Par ailleurs, le Conseil de surveillance exprime sa satisfaction concernant le parcours en Coupe Gambardella et la victoire des féminines de l’ASSE en Challenge de France

Sur le plan financier, après deux saisons difficiles, l’ASSE retrouve un résultat positif d’environ deux millions d’euros, ce qui fera passer les fonds propres à près de 12 millions d’euros. Le Conseil félicite le Directoire pour avoir réussi son plan d’économie et de développement. L’ASSE, 9ème budget de Ligue 1, sera un des rares clubs bénéficiaires en L1 sur la saison 2010-2011.
Dans une conjoncture économique difficile en France, avec en plus la suppression du DIC qui représente un surcout de 3 millions d’euros, c’est une performance que Roland Romeyer et son équipe ont réalisé. Roland ROMEYER a estimé que le travail d’amélioration financière a porté ses fruits mais que l’effort doit se poursuivre sur la saison prochaine : «Sortir du rouge était mon objectif prioritaire quand il y a dix-huit mois j’ai repris la direction du club. Je suis heureux d’avoir redressé la situation car, sans de bonnes finances, un club ne peut réussir dans la durée sur le plan sportif.»

Pour la saison prochaine, la perte causée par les travaux sur le stade Geoffroy-Guichard est estimée à près d’1,5 millions d’euros. Le budget devrait donc être en diminution d’autant. L’ASSE devrait se situer au 8ème rang de Ligue 1 au niveau budgétaire.

Le Conseil de surveillance a constaté, avec effarement, que les frais de police ont triplé à cause d’une augmentation des tarifs du Ministère de l’Intérieur. «Le football français subit des charges toujours plus lourdes avec des ressources en diminution. Cela explique le recul des clubs français en Europe» a souligné Bernard CAIAZZO en rajoutant : «Roland ROMEYER n’a pas le choix : il faut continuer le plan de rigueur et développer la formation avec un effectif professionnel de 23 joueurs. Une étude récente de la DTN a révélé que l’ASSE est dans le top 10 des clubs européens en nombre de joueurs, formés au club, qui jouent dans une équipe pro. Il faut persévérer dans cette voie»

Nordiste · Administrateur Inscrit le: 15 Oct 2010 Messages: 7121

Il se passe toujours qq chose :

http://www.le10sport.com/Football/Ligue1/Le-proces-qui-fait-trembler-lASSE-010748879.html

Récemment viré, Eric Fages, le directeur de la communication et du marketing a assigné le club stéphanois devant le tribunal d'instance. Son but ? Faire reconnaître l'ASSE comme une unité économique et sociale. Les conséquences financières pourraient être terribles.

Une explication tout d'abord. Que signifie faire reconnaître l'unité économique et sociale d'un club ? Cela signifie que le club est alors une entité qui ouvre droit, de par son importance, à la création d'un comité d'entreprise et surtout à la participation pour tous les autres salariés. En résumé, des avantages sociaux et financiers indéniables pour tous les salariés. Tout cela a existé au sein du club, mais seulement jusqu'en 2007. A cette date, en effet, le club a décidé de tout scinder en quatre entités distinctes. Plus de CE, plus d'avantages, plus rien...

Un enjeu financier colossal

La Tribune-Le Progrès nous raconte donc aujourd'hui qu'Eric Fages, directeur communication et marketing du club, attaque l'ASSE pour faire reconnaître l'UES et, ainsi, faire valoir ses droits. Cette action, qui a déjà été menée et perdue par un autre salarié dans le passé, peut avoir de terribles conséquences pour le club forézien. En cas de reconnaissance d'UES, il y aurait en effet retroactivité. L'ASSE devrait alors payer, sur les six années écoulées, une participation à tous ses salariés d'hier et d'aujourd'hui. Et réparer tous les préjudices. L'enjeu financier est colossal car il représente plusieurs millions d'euros. Dans les colonnes de la Tribune, Eric Fages indique : « Il y a urgence car le CE de l’ASSE ne s’est pas réuni depuis 2007. Il a été dissous. Depuis, l’intérêt des salariés n’est pas respecté. J’ai des problèmes avec mon employeur, mais cela n’a rien à voir avec les droits des salariés qui ne sont pas respectés ». Le juge a renvoyé l'étude de l'affaire au 13 octobre prochain.

ALAIN · Ven Juil 01, 2011 11:32 pm

3 joueurs écartés à l'ASSE

Boubacar Sanogo, Guirane N'Daw et Vincent Planté ne sont pas partis en stage avec l'AS Saint-Etienne ce vendredi.

Christophe Galtier ne compte plus sur Boubacar Sanogo, Guirane N'Daw et Vincent Planté, révéle Le Progrès. L'entraîneur stéphanois a d'ailleurs décidé de ne pas emmener les trois joueurs pour le premier stage d'avant-saison à Chambon-sur-Lignon (du 1er au 8 juillet).