VERTS-EN-NORD

Nordiste · Administrateur Inscrit le: 15 Oct 2010 Messages: 7121

site Off :

Jeudi matin, l’ASSE a été reçue par la Direction nationale du contrôle de gestion (DNCG) pour l’audition des comptes réactualisés de la saison en cours. L’examen du dossier, présenté par la délégation stéphanoise, n’a apporté aucune remarque particulière de la part de la DNCG qui a félicité le club d’avoir respecté ses engagements.

Nordiste · Administrateur Inscrit le: 15 Oct 2010 Messages: 7121

j'ai changé le titre du sujet ...

georges ozon · Ven Déc 10, 2010 11:22 pm

Joël · Ven Déc 10, 2010 11:30 pm

Tu as raison Georges, et même si on aime pas trop le personnage, il faut bien reconnaître qu'il a respecté ses engagement vis à vis de l'instance en question. Et qui sait s'il ne vaut pas mieux finir à une 10ème place avec un budget équilibré, que dans le top 5 avec un gros déficit qui pourrait nous jouer des tours dans les prochaines années.

Nordiste · Administrateur Inscrit le: 15 Oct 2010 Messages: 7121

tout a fait OK avec vous !

( et il faut pas oublier que le staff actuel doit payer les " betises " du dernier trio .... meme si , perso, j'en veux beaucoup a Perrin .... c'est quand meme lui qui a imposer ses choix a DC !)

georges ozon · Sam Déc 11, 2010 8:29 am

lestephdu62 · Inscrit le: 16 Oct 2010 Messages: 1521

entierement d accord avec vous Thumright

ALAIN · Sam Déc 11, 2010 6:57 pm

ALAIN · Sam Déc 11, 2010 6:59 pm

seb · Inscrit le: 16 Oct 2010 Messages: 953

Avec 25 points à deux journées de la trève, l'ASSE 2010/2011 peut déja se vanter d'avoir rompu le cycle infernal. Depuis le millésime 2006/07, notre bilan à la trève n'avait en effet cessé d'empirer.

Des 31 points obtenus par Hasek en décembre 2006, nous avions connu une première chute avec 25 points sous l'ère Roussey en 2007, puis 19 points avec Perrin en décembre 2008 et enfin 16 points l'an dernier juste après la reprise en mains par Galtier d'un effectif aux abois.

Rappelons également que les deux saisons de Baup nous avaient permis d'obtenir respectivement 26 points en décembre 2004 et 29 points en 2005.

Une victoire contre Arles samedi nous assurerait donc une montée sur le podium des bilans à la trève sur les 7 saisons passées en L1 depuis la remontée.

ALAIN · Lun Déc 13, 2010 11:02 pm

seb · Inscrit le: 16 Oct 2010 Messages: 953

Et je pense qu'on a réussi à trouver l'Entraineur qu'il nous fallait depuis plusieurs années !!!

Nordiste · Administrateur Inscrit le: 15 Oct 2010 Messages: 7121

le match de samedi est un piege !

mais j"espere que l'on va prendre les 3 points avant de venir au stadium faire qq chose !

ALAIN · Lun Déc 13, 2010 11:09 pm

ALAIN · Mer Déc 15, 2010 7:53 pm

Galtier l’avait prévu. Les écarts se creusent. L’ASSE a réalisé un bond en avant avec sa victoire à Monaco

Dans un championnat, il y a des tournants, pas évidents à prendre, qui ouvrent sur des lignes droites, plus tranquilles. Cette dix-septième journée en était un. Christophe Galtier avait raison en affirmant que les écarts allaient se creuser. Les trois points ramenés par son équipe lui permettent de gagner cinq places et le droit de regarder devant, plus que dans le rétroviseur avec le premier relégable à dix longueurs.

Même si Loïc Perrin persiste à penser que « Titiller les plus gros, ça va être compliqué », l’ambition, c’est aussi, et même d’abord, un droit des petits. Après tout, l’OM ne pointe qu’à deux points devant et le podium où l’OL s’est installé est à quatre marches.

Les challenges sont fait pour rêver, ce qui ne signifie pas qu’on oublie la réalité du match dont certains diront qu’il n’a tenu qu’à un penalty non sifflé en faveur de Monaco, à un coup franc discuté qui a permis à Sako d’afficher son culot sous le nez de son capitaine. « Sur le but, j’allais tirer et au dernier moment, Baky m’a dit laisse-moi la. Il a bien senti le coup. Il a bien fait ».

Cette efficacité a fait la différence, au grand dam d’un Ruffier désemparé « C’est fou d’avoir les occases et de ne pas marquer. C’est cela qui frustre, se dire qu’on perd un match alors qu’on doit le gagner. Le manque de réalisme, c’est le problème. Il faut les mettre au fond. On n’est pas en confiance et ça se voit ».

Les Stéphanois, eux le sont, ce qui n’était pas si évident que cela après neuf rencontres sans gagner. Une série que Galtier a su gérer, une ligne de plus sur son CV. C’est dans la difficulté qu’on juge un management. Il a su trouver les mots, dessinant même les contours de ce qui allait arriver, une victoire qui bonifierait la série de matches nuls. Alors, même si ce ne fut pas la meilleure prestation des Verts, pas question pour eux de faire la fine bouche. Perrin savoure « Cela nous fait du bien. On voulait retrouver la victoire. On était sur une série de quatre matches sans défaite. On avançait à petits pas. Là on fait un bond en avant. On était venu pour gagner. On a réussi. On savait l’opération qu’on pouvait faire. On connaissait tous les résultats. On se maintient dans la première moitié de tableau, c’est important. »

Oubliés les arrêts de Janot qui sauvent la mise, la domination monégasque de la deuxième période ? Pas tout à fait. Celui qui a toutes les raisons de préférer le maillot vert sous lequel il est un roi, à celui de la Principauté est lucide : « A la mi-temps, on s’était dit qu’il fallait essayer de ne pas subir, parce qu’avant la pause, on avait eu un peu de mal à garder le ballon, sans être forcément en danger. Mais, il a fallu le deuxième but pour nous libérer. On aurait dû jouer comme ça avant. On a un peu souffert ».

De quoi faire enrager Ruffier « Dans le jeu, je n’ai pas vu que Saint-Etienne était meilleur que nous, ni Rennes la semaine dernière ». C’est la caractéristique d’un championnat où tout bascule très vite, c’est surtout la réalité du haut niveau où la différence se fait sur des détails et sur la volonté, ce que relève Laurent Bonnart quand il demande aux siens de « faire le dos rond et continuer à travailler. Le problème, c’est notre inconstance individuelle et collective. Il faut tout donner pour ne pas avoir de regrets, que notre envie de survie soit plus importante que celle de l’adversaire ». Ce sont des mots. Les Verts eux sont passés aux actes.

Didier Bigard